#美国非农就业数据表现优于预期 $BTC est tombé sous les 82 000 dollars, $ETH a chuté de 10 % en une seule journée — le détonateur de ce krach se cachait dans la bouche d’un haut responsable de la régulation, habituellement silencieux, de l’autre côté de l’Atlantique.
Le gouverneur de la Fed, Michael Barr, a soudain pris la parole. Ce patron de la régulation, qui s’exprime très rarement en public, a cette fois douché le marché : « L’inflation reste à 3 %, très loin de notre objectif de 2 %. » Même s’il n’a pas fermé la porte, les cinq mots « il faut rester prudent » ont suffi aux traders pour comprendre le sous-entendu : une baisse des taux en décembre ? C’est compromis.
La séance des marchés américains ce jour-là fut un cas d’école de retournement brutal : le Nasdaq a ouvert en bondissant de 2 %, avant de s’effondrer dans l’après-midi pour clôturer en baisse de 2 %. Le Bitcoin n’a pas tenu non plus, glissant sous les 90 000 dollars. Et les anticipations de baisse des taux ? D’une probabilité de 80 % la veille, on est passé directement à 40 %.
La Fed est en pleine ébullition interne. Le camp des faucons redouble d’intensité : Loretta Mester à Cleveland avertit qu’« une nouvelle baisse des taux nourrirait l’inflation », tandis que Schmid à Kansas City va plus loin, ayant déjà voté contre à la réunion d’octobre et affichant clairement sa volonté de tenir bon. Et les colombes ? Presque silencieuses ; les rares voix en faveur d’une baisse des taux sont immédiatement noyées dans le tumulte. Même Nick Timiraos, le « porte-parole officieux » de la Fed à Wall Street, admet : les chiffres de l’emploi de septembre n’ont fait qu’accentuer les divisions, chacun campe sur ses positions.
À propos de ces chiffres de l’emploi, c’est un vrai casse-tête. 119 000 nouveaux emplois créés, plus du double des attentes, ce qui semble impressionnant. Mais le taux de chômage grimpe à 4,4 %, un plus haut depuis quatre ans. L’analyse de Barr : « Le marché se refroidit, mais on est encore loin d’un niveau nécessitant une baisse des taux d’urgence. »
La réunion du FOMC de décembre sera le théâtre d’une confrontation ultime entre faucons et colombes. Le vote de Barr pourrait décider si le cycle d’assouplissement monétaire se poursuit cette année ou s’il s’arrête prématurément. Certains à Wall Street préviennent déjà : il ne faut pas compter sur une baisse rapide des taux, l’année prochaine risque d’être difficile pour les actifs à risque.
Statistiques contradictoires, revirement des dirigeants, volatilité extrême du marché — ces trois éléments réunis font que décembre ne s’annonce pas de tout repos.
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GasFeePhobia
· Il y a 13h
Encore une fois, ces gens de la Réserve fédérale (FED) font des siennes, je disais qu'il ne fallait pas compter sur eux pour une baisse des taux
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Une phrase de Baer a directement fait capoter la situation, quel mauvais jeu d'acteur
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Si les faucons sont si forts, ne feignez pas que l'inflation est à 3%, dites simplement que vous voulez continuer à saigner les gens
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119 000 nouveaux emplois doublés, c'est quoi ce délire ? Le taux de chômage monte en revanche ? Ces données peuvent vraiment se battre
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Le FOMC de décembre est juste un jeu de pari, parier sur le fait que le vote de Baer puisse changer quelque chose
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Je savais déjà que décembre ne serait pas calme, maintenant je veux juste savoir si l'on pourra encore acheter le dip l'année prochaine
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Les actifs risqués auront une vie difficile l'année prochaine ? Oui, la vie des travailleurs, de toute façon, n'est jamais facile
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Ces gens de Wall Street, ils mettent en garde contre quoi ? Ils n'ont jamais eu raison dans leurs prévisions
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Les attentes de baisse des taux sont passées de 80% à un effondrement de 50, c'est vraiment trop dramatique
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OfflineValidator
· Il y a 13h
Baal a vraiment fait tomber des milliards avec sa bouche... c'est vraiment incroyable.
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DataOnlooker
· Il y a 13h
La bouche de Powell est vraiment redoutable, en une seule phrase il a abasourdi tout le marché, les faucons sont vraiment durs cette fois-ci.
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DYORMaster
· Il y a 13h
Merde, dès que Bal ouvre la bouche, ça m'a directement fait être liquidé avec mon ordre, c'est ça qu'on appelle "gagner de l'argent sans bruit" ?
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MintMaster
· Il y a 13h
Merde, ce vieux Bal a jeté un sacré froid sur la crypto dès qu’il a ouvert la bouche, avec son “restez prudents”, et le marché s’est effondré en un instant, l’après-midi ça a été la vente massive directe.
C’est à peu près ça, ces chiffres de l’emploi non-agricole sont vraiment ridicules : de bons chiffres sur l’emploi mais le taux de chômage grimpe, qui peut y croire ? De toute façon, mon BTC est encore coincé.
Les faucons reviennent à la charge et affichent leur fermeté, j’ai l’impression qu’il n’y aura aucune baisse de taux en décembre, et qu’on va continuer avec des taux élevés l’an prochain. Difficile la vie des actifs risqués…
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LayerHopper
· Il y a 13h
Ce frère Bal sait vraiment choisir son moment, une phrase a brisé le rêve de baisse des taux de tout le monde, le bull run a disparu aussi vite qu'il est venu.
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LiquidityNinja
· Il y a 13h
Dès que ce gars Ball a ouvert la bouche, il a directement jeté un froid sur le marché des cryptos. Maintenant, la baisse des taux en décembre est compromise, c’est un peu dur en ce moment.
#美国非农就业数据表现优于预期 $BTC est tombé sous les 82 000 dollars, $ETH a chuté de 10 % en une seule journée — le détonateur de ce krach se cachait dans la bouche d’un haut responsable de la régulation, habituellement silencieux, de l’autre côté de l’Atlantique.
Le gouverneur de la Fed, Michael Barr, a soudain pris la parole. Ce patron de la régulation, qui s’exprime très rarement en public, a cette fois douché le marché : « L’inflation reste à 3 %, très loin de notre objectif de 2 %. » Même s’il n’a pas fermé la porte, les cinq mots « il faut rester prudent » ont suffi aux traders pour comprendre le sous-entendu : une baisse des taux en décembre ? C’est compromis.
La séance des marchés américains ce jour-là fut un cas d’école de retournement brutal : le Nasdaq a ouvert en bondissant de 2 %, avant de s’effondrer dans l’après-midi pour clôturer en baisse de 2 %. Le Bitcoin n’a pas tenu non plus, glissant sous les 90 000 dollars. Et les anticipations de baisse des taux ? D’une probabilité de 80 % la veille, on est passé directement à 40 %.
La Fed est en pleine ébullition interne. Le camp des faucons redouble d’intensité : Loretta Mester à Cleveland avertit qu’« une nouvelle baisse des taux nourrirait l’inflation », tandis que Schmid à Kansas City va plus loin, ayant déjà voté contre à la réunion d’octobre et affichant clairement sa volonté de tenir bon. Et les colombes ? Presque silencieuses ; les rares voix en faveur d’une baisse des taux sont immédiatement noyées dans le tumulte. Même Nick Timiraos, le « porte-parole officieux » de la Fed à Wall Street, admet : les chiffres de l’emploi de septembre n’ont fait qu’accentuer les divisions, chacun campe sur ses positions.
À propos de ces chiffres de l’emploi, c’est un vrai casse-tête. 119 000 nouveaux emplois créés, plus du double des attentes, ce qui semble impressionnant. Mais le taux de chômage grimpe à 4,4 %, un plus haut depuis quatre ans. L’analyse de Barr : « Le marché se refroidit, mais on est encore loin d’un niveau nécessitant une baisse des taux d’urgence. »
La réunion du FOMC de décembre sera le théâtre d’une confrontation ultime entre faucons et colombes. Le vote de Barr pourrait décider si le cycle d’assouplissement monétaire se poursuit cette année ou s’il s’arrête prématurément. Certains à Wall Street préviennent déjà : il ne faut pas compter sur une baisse rapide des taux, l’année prochaine risque d’être difficile pour les actifs à risque.
Statistiques contradictoires, revirement des dirigeants, volatilité extrême du marché — ces trois éléments réunis font que décembre ne s’annonce pas de tout repos.