L’Arabie saoudite affirme qu’elle réduira son déficit d’ici 2026, même après avoir injecté des liquidités dans des méga-projets via des dépenses massives et des émissions d’obligations. Cela semble optimiste, non ? Wall Street n’y croit pas. Les analystes restent dubitatifs quant à la capacité du royaume à réussir ce redressement budgétaire, compte tenu de l’ampleur de leur ambitieux programme d’infrastructures. L’écart entre les prévisions de Riyad et le sentiment du marché ne cesse de se creuser. Les ventes massives d’obligations peuvent-elles réellement financer ces projets sans compromettre les objectifs de réduction du déficit ? Le scepticisme est bien réel.