Le 1er décembre, selon un rapport de Bloomberg, la plateforme de marché de prévision Kalshi a été confrontée à un recours collectif, accusée d'exercer des activités de paris sportifs sans licence de jeu d'État, et d'avoir fait des déclarations trompeuses aux utilisateurs concernant ses activités de market maker. Ce recours a été initié par sept utilisateurs de l'application Kalshi qui ont mandaté le cabinet d'avocats Lieff Cabraser Heimann & Bernstein, alléguant que Kalshi avait mal présenté ses services comme étant « des paris sportifs légaux », et que sa société affiliée Kalshi Trading, en tant que market maker, avait fixé des cotes défavorables aux utilisateurs, rendant les transactions essentiellement comme un pari contre le « market maker ». Kalshi a répondu que ses activités relèvent du marché des dérivations et qu'elle n'est soumise qu'à la réglementation fédérale de la Commodity Futures Trading Commission (CFTC).
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Kalshi fait l'objet d'un recours collectif, accusé d'exercer des activités de paris sportifs sans licence.
Le 1er décembre, selon un rapport de Bloomberg, la plateforme de marché de prévision Kalshi a été confrontée à un recours collectif, accusée d'exercer des activités de paris sportifs sans licence de jeu d'État, et d'avoir fait des déclarations trompeuses aux utilisateurs concernant ses activités de market maker. Ce recours a été initié par sept utilisateurs de l'application Kalshi qui ont mandaté le cabinet d'avocats Lieff Cabraser Heimann & Bernstein, alléguant que Kalshi avait mal présenté ses services comme étant « des paris sportifs légaux », et que sa société affiliée Kalshi Trading, en tant que market maker, avait fixé des cotes défavorables aux utilisateurs, rendant les transactions essentiellement comme un pari contre le « market maker ». Kalshi a répondu que ses activités relèvent du marché des dérivations et qu'elle n'est soumise qu'à la réglementation fédérale de la Commodity Futures Trading Commission (CFTC).