La confidentialité n’est plus une option : elle doit être intégrée dès la base. Voici à quoi cela ressemble concrètement :
Tout d’abord, le chiffrement de la mémoire doit être appliqué de bout en bout. Chaque interaction entre agents doit bénéficier d’une protection cryptographique. Aucune faille, aucune exception.
Le point clé : les fournisseurs de cloud tiers ne devraient même pas pouvoir accéder aux données brutes des utilisateurs. Cela implique de concevoir des systèmes où le contexte reste chiffré même pendant le traitement—les approches à connaissance nulle sont la voie à suivre ici.
Mais le vrai changement ? La confidentialité ne peut plus être simplement une politique à laquelle on promet de se conformer. Elle doit être imposée au niveau même du protocole. Des contraintes codées en dur qui rendent les violations techniquement impossibles, et pas seulement interdites contractuellement. C’est le seul modèle qui permet d’instaurer la confiance à l’échelle dans les systèmes décentralisés.
Voir l'original
Cette page peut inclure du contenu de tiers fourni à des fins d'information uniquement. Gate ne garantit ni l'exactitude ni la validité de ces contenus, n’endosse pas les opinions exprimées, et ne fournit aucun conseil financier ou professionnel à travers ces informations. Voir la section Avertissement pour plus de détails.
10 J'aime
Récompense
10
7
Reposter
Partager
Commentaire
0/400
HackerWhoCares
· Il y a 2h
Le protocole couche codé en dur les contraintes de confidentialité, ça a l'air bien, mais la véritable difficulté est de faire accepter ces règles par tous les nœuds... qui, dans un écosystème fragmenté, définira ce qu'on appelle "technologie impossible" ?
Voir l'originalRépondre0
YieldWhisperer
· Il y a 2h
franchement, c'est ce que je dis depuis un moment, cette affaire de politique de confidentialité aurait dû être jetée à la poubelle depuis longtemps... c'est l'exécution obligatoire au niveau du protocole qui compte vraiment.
Voir l'originalRépondre0
HodlOrRegret
· Il y a 2h
franchement, c'est vraiment l'esprit du web3, n'est-ce pas ? La couche de protocole impose des contraintes strictes sur la confidentialité au lieu de simplement en parler... Si toutes les chaînes pouvaient faire cela, ce serait parfait.
Voir l'originalRépondre0
IfIWereOnChain
· Il y a 2h
C'est vrai, mais faire appliquer le protocole est plus facile à dire qu'à faire... Combien de projets peuvent réellement réaliser un chiffrement de bout en bout ?
Voir l'originalRépondre0
GateUser-e19e9c10
· Il y a 2h
NGL, c'est ça la véritable solution de confidentialité : intégrer la privacy directement dans le code, c'est bien plus fiable que de l'écrire dans le protocole.
Voir l'originalRépondre0
PebbleHander
· Il y a 2h
La couche de protocole codée en dur pour la confidentialité, c'est vraiment ce à quoi devrait ressembler la véritable Décentralisation. Cela dit, combien de projets peuvent réellement atteindre un niveau de sécurité de zk-SNARKs...
Voir l'originalRépondre0
TheMemefather
· Il y a 2h
non, c'est la bonne réponse, c'est la véritable exécution de la confidentialité au niveau du protocole, tout ce qui concerne les contrats est du vent.
La confidentialité n’est plus une option : elle doit être intégrée dès la base. Voici à quoi cela ressemble concrètement :
Tout d’abord, le chiffrement de la mémoire doit être appliqué de bout en bout. Chaque interaction entre agents doit bénéficier d’une protection cryptographique. Aucune faille, aucune exception.
Le point clé : les fournisseurs de cloud tiers ne devraient même pas pouvoir accéder aux données brutes des utilisateurs. Cela implique de concevoir des systèmes où le contexte reste chiffré même pendant le traitement—les approches à connaissance nulle sont la voie à suivre ici.
Mais le vrai changement ? La confidentialité ne peut plus être simplement une politique à laquelle on promet de se conformer. Elle doit être imposée au niveau même du protocole. Des contraintes codées en dur qui rendent les violations techniquement impossibles, et pas seulement interdites contractuellement. C’est le seul modèle qui permet d’instaurer la confiance à l’échelle dans les systèmes décentralisés.