Le gars qui a prédit l'effondrement du marché immobilier de 2008 vient de faire un énorme mouvement anticonformiste : Scion Asset Management a dumpé $912M en positions short sur Palantir et $187M contre Nvidia. Mise totale baissière ? 1,1 milliard de dollars.
Nvidia a récemment atteint une capitalisation boursière de $5T plus grande que l'ensemble de l'économie allemande(, tandis que Palantir a bondi de 400 % d'une année sur l'autre. Pendant ce temps, Burry vient juste de revenir sur X après 2 ans de silence radio pour publier une photo cryptique de Christian Bale dans The Big Short avec la légende : “Parfois, nous voyons des bulles. Parfois, il y a quelque chose à faire à ce sujet.”
Il signale également que la croissance des dépenses technologiques aux États-Unis a atteint des niveaux qui n'avaient pas été vus depuis la fin des années 90, lors de l'ère des dot-com. La demande en cloud computing ralentit parmi les grands acteurs, mais la machine à hype de l'IA continue de tourner.
Le marché n'a pas aimé les nouvelles—Nvidia a chuté de 2 % en préouverture, Palantir a perdu 8 %.
La question : Burry est-il en avance ou a-t-il raison ? Son palmarès dit de ne pas l'ignorer. Mais cette fois, il parie contre tout le zeitgeist de l'IA.
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Michael Burry parie 1,1 milliard de dollars contre la bulle de l'IA—encore une fois
Le gars qui a prédit l'effondrement du marché immobilier de 2008 vient de faire un énorme mouvement anticonformiste : Scion Asset Management a dumpé $912M en positions short sur Palantir et $187M contre Nvidia. Mise totale baissière ? 1,1 milliard de dollars.
Nvidia a récemment atteint une capitalisation boursière de $5T plus grande que l'ensemble de l'économie allemande(, tandis que Palantir a bondi de 400 % d'une année sur l'autre. Pendant ce temps, Burry vient juste de revenir sur X après 2 ans de silence radio pour publier une photo cryptique de Christian Bale dans The Big Short avec la légende : “Parfois, nous voyons des bulles. Parfois, il y a quelque chose à faire à ce sujet.”
Il signale également que la croissance des dépenses technologiques aux États-Unis a atteint des niveaux qui n'avaient pas été vus depuis la fin des années 90, lors de l'ère des dot-com. La demande en cloud computing ralentit parmi les grands acteurs, mais la machine à hype de l'IA continue de tourner.
Le marché n'a pas aimé les nouvelles—Nvidia a chuté de 2 % en préouverture, Palantir a perdu 8 %.
La question : Burry est-il en avance ou a-t-il raison ? Son palmarès dit de ne pas l'ignorer. Mais cette fois, il parie contre tout le zeitgeist de l'IA.