Honnêtement, cela ressemble au morceau de puzzle que tout le monde recherche. D'un côté, on s'attaque au problème de la couche de disponibilité des données, tandis qu'Espresso résout quelque chose d'aussi critique : comment les blockchains communiquent et vérifient réellement l'état des autres. En ce moment, la plupart des chaînes fonctionnent en silos. Elles ne peuvent pas voir nativement ce qui se passe sur d'autres réseaux sans des bridges compliqués ou des relais centralisés. C'est là que se trouve le véritable goulet d'étranglement. Vous réparez la couche de données, très bien - mais si les chaînes ne peuvent pas s'observer de manière fiable, vous êtes toujours coincé avec une liquidité fragmentée et une composabilité brisée. L'approche d'Espresso en matière de séquençage partagé et de visibilité cross-chain pourrait bien être la colle infrastructurelle qui rend la véritable interopérabilité possible. Ce n'est pas sexy, mais c'est fondamental.