Ce qui s'est passé : Transak (la plateforme fiat-cripto intégrée dans MetaMask et Coinbase) a subi une attaque de phishing qui a compromis les données de 57 000 utilisateurs. Le groupe Stormous a exfiltré 300 Go de documents KYC, de selfies et d'états financiers.
Les données brutes
Utilisateurs affectés: 57.000 (1,14% de la base)
Volume volé : 300 Go de données personnelles
Qu'est-ce qui a été divulgué : documents d'identité, selfies KYC, états financiers
Ce qui ne s'est pas filtré : Numéros de carte, fonds (modèle non-custodial)
Par où sont-ils entrés ?
Un employé a reçu un e-mail de phishing qui a compromis son ordinateur portable. De là, les attaquants ont sauté au fournisseur KYC externe qui utilise Transak. Classique mais efficace.
Les doutes qui restent
Cet incident expose un problème structurel : bien que Transak ne custodie pas de fonds ( c'est-à-dire, votre argent est en sécurité ), vos données personnelles vulnérables dans les systèmes KYC peuvent constituer un point d'entrée pour de futures escroqueries. Le groupe Stormous menace déjà de libérer plus de données si aucune rançon n'est payée.
Conseil pratique : Si vous utilisez Transak, restez vigilant face au phishing et surveillez vos réseaux de contacts. Vos données KYC sont là dehors, alors faites attention aux messages suspects mentionnant “Transak” ou “vérification en attente”.
Transak a licencié l'employé responsable et collabore avec les autorités. Mais la question de fond reste : quelle est vraiment la sécurité de l'écosystème de vérification en crypto ?
Voir l'original
Cette page peut inclure du contenu de tiers fourni à des fins d'information uniquement. Gate ne garantit ni l'exactitude ni la validité de ces contenus, n’endosse pas les opinions exprimées, et ne fournit aucun conseil financier ou professionnel à travers ces informations. Voir la section Avertissement pour plus de détails.
Fuite Transak : 57K utilisateurs en danger, quelles leçons cela laisse-t-il pour votre portefeuille ?
Ce qui s'est passé : Transak (la plateforme fiat-cripto intégrée dans MetaMask et Coinbase) a subi une attaque de phishing qui a compromis les données de 57 000 utilisateurs. Le groupe Stormous a exfiltré 300 Go de documents KYC, de selfies et d'états financiers.
Les données brutes
Par où sont-ils entrés ?
Un employé a reçu un e-mail de phishing qui a compromis son ordinateur portable. De là, les attaquants ont sauté au fournisseur KYC externe qui utilise Transak. Classique mais efficace.
Les doutes qui restent
Cet incident expose un problème structurel : bien que Transak ne custodie pas de fonds ( c'est-à-dire, votre argent est en sécurité ), vos données personnelles vulnérables dans les systèmes KYC peuvent constituer un point d'entrée pour de futures escroqueries. Le groupe Stormous menace déjà de libérer plus de données si aucune rançon n'est payée.
Conseil pratique : Si vous utilisez Transak, restez vigilant face au phishing et surveillez vos réseaux de contacts. Vos données KYC sont là dehors, alors faites attention aux messages suspects mentionnant “Transak” ou “vérification en attente”.
Transak a licencié l'employé responsable et collabore avec les autorités. Mais la question de fond reste : quelle est vraiment la sécurité de l'écosystème de vérification en crypto ?