L'architecture de Zama repose sur trois piliers fondamentaux. Tout d'abord, elle maintient des coûts de transaction privés prévisibles : plus de surprises de frais de gas lors des opérations confidentielles. La couche de sécurité fonctionne sur le consensus DPoS, équilibrant l'efficacité des validateurs avec la protection du réseau.

Ce qui est intéressant, c'est leur tokenomics : ils ont mis en place un mécanisme de brûlage et de frappe spécifiquement conçu pour l'évolutivité des transactions privées. Contrairement aux modèles traditionnels qui ont du mal avec la confidentialité à grande échelle, cette approche retire des tokens de la circulation lors des opérations privées et frappe une nouvelle offre au besoin.

L'ensemble du dispositif vise un problème : faire fonctionner des transactions confidentielles à grande échelle sans sacrifier ni les garanties de confidentialité ni les performances du réseau.