La Commission européenne vient de laisser tomber un plan que la plupart n'ont pas vu venir. Alors que le marché crypto reste obsédé par Web3, Bruxelles regarde déjà au-delà—et voici le twist : Web4 n'est pas une rébellion contre Web3, mais son évolution consciente.
Le problème que personne ne veut admettre : Web3 est trop technique
Une enquête de Consensys a révélé quelque chose de brutal : seulement 8 % de la population comprend ce qu'est Web3. Ce chiffre n'est pas un hasard. Web3 a triomphé en décentralisation mais a échoué dans quelque chose de plus important : l'expérience de l'utilisateur ordinaire.
Web4 hérite de la technologie décentralisée de Web3, mais y ajoute ce qui manque : IA, IoT, mondes virtuels et, surtout, que les utilisateurs en profitent réellement sans avoir besoin d'un doctorat en blockchain.
Les 7 différences clés qui changeront la donne
Aspect
Web3
Web4
Approche
Technologie blockchain pure
UX + impact social
Accès
Pour les technophiles
Pour les utilisateurs ordinaires
Risque
Code est loi
Responsabilité d'entreprise
Régulation
Anti-régulation
Supervision équilibrée
Maturité
Phase expérimentale
Vision future
Le coup de l'UE : réglementation intelligente vs. chaos de Web2
L'Union européenne a tiré une leçon coûteuse des Big Tech de Web2. Cette fois-ci, elle ne va pas permettre que :
Les données des utilisateurs sont un produit de vente libre
Les enfants exposent leur vie privée sans protection
Le discours de haine prospère sous l'anonymat
Les plateformes agissent sans responsabilité sociale
Son mouvement est réglementation précise mais non étouffante. La nouvelle Digital Services Act oblige les plateformes à répondre du contenu qu'elles hébergent, met en œuvre des systèmes d'authentification réelle et cherche à ce que les utilisateurs contrôlent réellement leurs données.
Le défi brutal que personne ne veut mentionner
L'UE fait face à un équilibre instable :
Favoriser l'innovation sans qu'elle ne devienne le Far West 2.0
Coordonner la réglementation entre 27 pays ayant des intérêts différents
Intervenir suffisamment pour éviter des problèmes, mais pas au point de tuer la technologie
Compétition avec des pays qui vont choisir le chemin du “sans régulation”
La réalité dure : les décisions de l'UE sur Web4 auront un effet d'entraînement sur la réglementation mondiale. Si Bruxelles s'en sort bien, d'autres suivront. Si elle échoue, nous verrons une fragmentation sans précédent d'Internet/régulation.
Le pronostic : Web4 est la bataille ultime entre innovation et contrôle
Web3 était le cri de liberté. Web4 sera le défi de rendre cette liberté durable sans détruire la société dans le processus.
Le mouvement de l'UE est plus pragmatique qu'idéologique : décentralisation oui, mais avec des garde-fous sociaux. Ce n'est pas ce que les puristes veulent entendre, mais c'est probablement ce dont le monde a besoin.
Ce n'est pas un combat technique. C'est un combat sur qui contrôle l'avenir d'Internet : les utilisateurs autonomes ? Les entreprises ? Les gouvernements ? Web4 donnera la réponse.
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Web4 n'est pas qu'un simple battage médiatique : c'est ainsi que l'UE pense alors que Web3 est encore en couches.
La Commission européenne vient de laisser tomber un plan que la plupart n'ont pas vu venir. Alors que le marché crypto reste obsédé par Web3, Bruxelles regarde déjà au-delà—et voici le twist : Web4 n'est pas une rébellion contre Web3, mais son évolution consciente.
Le problème que personne ne veut admettre : Web3 est trop technique
Une enquête de Consensys a révélé quelque chose de brutal : seulement 8 % de la population comprend ce qu'est Web3. Ce chiffre n'est pas un hasard. Web3 a triomphé en décentralisation mais a échoué dans quelque chose de plus important : l'expérience de l'utilisateur ordinaire.
Web4 hérite de la technologie décentralisée de Web3, mais y ajoute ce qui manque : IA, IoT, mondes virtuels et, surtout, que les utilisateurs en profitent réellement sans avoir besoin d'un doctorat en blockchain.
Les 7 différences clés qui changeront la donne
Le coup de l'UE : réglementation intelligente vs. chaos de Web2
L'Union européenne a tiré une leçon coûteuse des Big Tech de Web2. Cette fois-ci, elle ne va pas permettre que :
Son mouvement est réglementation précise mais non étouffante. La nouvelle Digital Services Act oblige les plateformes à répondre du contenu qu'elles hébergent, met en œuvre des systèmes d'authentification réelle et cherche à ce que les utilisateurs contrôlent réellement leurs données.
Le défi brutal que personne ne veut mentionner
L'UE fait face à un équilibre instable :
La réalité dure : les décisions de l'UE sur Web4 auront un effet d'entraînement sur la réglementation mondiale. Si Bruxelles s'en sort bien, d'autres suivront. Si elle échoue, nous verrons une fragmentation sans précédent d'Internet/régulation.
Le pronostic : Web4 est la bataille ultime entre innovation et contrôle
Web3 était le cri de liberté. Web4 sera le défi de rendre cette liberté durable sans détruire la société dans le processus.
Le mouvement de l'UE est plus pragmatique qu'idéologique : décentralisation oui, mais avec des garde-fous sociaux. Ce n'est pas ce que les puristes veulent entendre, mais c'est probablement ce dont le monde a besoin.
Ce n'est pas un combat technique. C'est un combat sur qui contrôle l'avenir d'Internet : les utilisateurs autonomes ? Les entreprises ? Les gouvernements ? Web4 donnera la réponse.