Récemment, le gouvernement britannique envisage une nouvelle politique visant à améliorer l'attractivité de la plateforme d'échange de Londres. Selon des sources, le ministère des Finances prépare des mesures d'exonération de la taxe sur les transactions pour les nouvelles entreprises cotées, afin de faire face au défi de la baisse de la compétitivité du marché des capitaux public au Royaume-Uni.
Le cœur de cette politique est l'exonération de la taxe de timbre de 0,5 % que les investisseurs doivent payer lors de l'achat d'actions de nouvelles entreprises cotées. Il est entendu que cette exonération pourrait durer deux à trois ans après l'introduction en bourse de l'entreprise. Il convient de noter qu'il existe déjà des politiques d'exonération fiscale pertinentes au stade de l'introduction en bourse (IPO).
Les fonctionnaires du gouvernement espèrent que cette initiative permettra d'atteindre plusieurs objectifs : améliorer la liquidité du marché, attirer davantage d'entreprises à choisir Londres comme lieu de cotation, tout en encourageant un plus grand nombre d'investisseurs particuliers à participer au marché boursier britannique.
Le contexte de l'introduction de cette politique suscite un vif intérêt. Selon les données, le nombre de nouvelles cotations à Londres cette année est déjà en retard par rapport à certaines plateformes d'échange de marchés émergents, comme l'Angola, Zagreb et Mascate. Cette situation a suscité des inquiétudes dans le secteur financier, qui a activement fait pression sur le gouvernement pour qu'il prenne des mesures visant à revitaliser le marché des cotations de Londres, de plus en plus moribond.
En outre, la charge de la taxe sur les transactions est également considérée par de nombreuses entreprises de technologie financière comme un obstacle majeur lors du choix d'un lieu d'introduction en bourse. Par conséquent, si cette nouvelle politique peut être mise en œuvre avec succès, elle pourrait insuffler une nouvelle vitalité au marché financier londonien et l'aider à renaître dans la compétition des centres financiers mondiaux.
Cependant, il reste à voir si cette politique peut réellement inverser la tendance, et cela devra être vérifié par la réaction réelle du marché. L'avenir du marché financier londonien sera sans aucun doute au centre de l'attention de la communauté financière mondiale.
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GasFeeCryBaby
· 10-01 19:48
Attendre que le marché prouve que c'est bon.
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StrawberryIce
· 10-01 19:46
Eh bien, c'est même pas aussi bien que la plateforme d'échange de Shenzhen.
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GasGuru
· 10-01 19:26
Londres peut-il encore espérer être sauvé ? Investir à Mascate.
Récemment, le gouvernement britannique envisage une nouvelle politique visant à améliorer l'attractivité de la plateforme d'échange de Londres. Selon des sources, le ministère des Finances prépare des mesures d'exonération de la taxe sur les transactions pour les nouvelles entreprises cotées, afin de faire face au défi de la baisse de la compétitivité du marché des capitaux public au Royaume-Uni.
Le cœur de cette politique est l'exonération de la taxe de timbre de 0,5 % que les investisseurs doivent payer lors de l'achat d'actions de nouvelles entreprises cotées. Il est entendu que cette exonération pourrait durer deux à trois ans après l'introduction en bourse de l'entreprise. Il convient de noter qu'il existe déjà des politiques d'exonération fiscale pertinentes au stade de l'introduction en bourse (IPO).
Les fonctionnaires du gouvernement espèrent que cette initiative permettra d'atteindre plusieurs objectifs : améliorer la liquidité du marché, attirer davantage d'entreprises à choisir Londres comme lieu de cotation, tout en encourageant un plus grand nombre d'investisseurs particuliers à participer au marché boursier britannique.
Le contexte de l'introduction de cette politique suscite un vif intérêt. Selon les données, le nombre de nouvelles cotations à Londres cette année est déjà en retard par rapport à certaines plateformes d'échange de marchés émergents, comme l'Angola, Zagreb et Mascate. Cette situation a suscité des inquiétudes dans le secteur financier, qui a activement fait pression sur le gouvernement pour qu'il prenne des mesures visant à revitaliser le marché des cotations de Londres, de plus en plus moribond.
En outre, la charge de la taxe sur les transactions est également considérée par de nombreuses entreprises de technologie financière comme un obstacle majeur lors du choix d'un lieu d'introduction en bourse. Par conséquent, si cette nouvelle politique peut être mise en œuvre avec succès, elle pourrait insuffler une nouvelle vitalité au marché financier londonien et l'aider à renaître dans la compétition des centres financiers mondiaux.
Cependant, il reste à voir si cette politique peut réellement inverser la tendance, et cela devra être vérifié par la réaction réelle du marché. L'avenir du marché financier londonien sera sans aucun doute au centre de l'attention de la communauté financière mondiale.