Maintenant, lorsque tout le monde parle de la couche deux, on évoque toujours la vitesse, les coûts et les performances. Pratiquement chaque nouvelle chaîne se bat sur ces indicateurs : qui est plus rapide, qui est moins cher, qui peut supporter plus de transactions. Mais le problème est que tout le monde fait cela, et plus on avance, plus cela se ressemble, ce qui manque d'originalité.
@MorphLayer me donne une sensation différente. Son objectif n'est pas de rivaliser sur le "classement des performances", mais de rivaliser sur "la plasticité de l'écosystème". En d'autres termes, il souhaite permettre à différentes applications de trouver l'environnement le plus adapté, plutôt que de dominer avec une seule chaîne. Pour les développeurs, cette approche est plus réaliste : il ne s'agit pas de forcer tout le monde dans un même cadre, mais de créer une scène sur mesure pour chacun.
Le dernier testnet Morph Hoodi montre bien cette direction. Il a mis à jour le pont, le navigateur, les paramètres des nœuds et a rendu l'interface des contrats plus pratique. C'est plus fluide à utiliser et beaucoup plus simple. L'ancien testnet Holesky va bientôt fermer le 30 septembre, ce qui montre que Morph est prêt à passer de "essayer" à "être réellement utilisable".
Ce qui m'a le plus touché, c'est l'expérience des développeurs. Morph est compatible avec la pile de développement d'Ethereum et propose des outils SDK, réduisant ainsi au minimum les coûts de migration. Pour les développeurs, pouvoir continuer à écrire des contrats avec des outils familiers est le plus grand sentiment de sécurité. Comparé à une simple amélioration des performances, cette expérience est beaucoup plus susceptible de faire rester les gens.
D'un point de vue industriel, Morph ne cherche probablement pas à affronter directement des géants comme Arbitrum ou Optimism. Il emprunte une voie différenciée. Par exemple, les jeux blockchain, les réseaux sociaux sur blockchain, l'IA + blockchain, ces scénarios nécessitent non seulement des frais de transaction bas, mais aussi un environnement sous-jacent flexible. La conception modulaire de Morph répond parfaitement à ce besoin.
Ainsi, à mon avis, la principale force concurrentielle de Morph est de savoir s'il peut devenir le nouveau terrain que les développeurs souhaitent le plus explorer. Ce n'est pas de courir le plus vite, mais de pouvoir faire émerger le plus de types d'applications. L'avenir dépendra de la mise en ligne du mainnet et du lancement de l'écosystème, et de la capacité à attirer un nombre suffisant de projets.
La narration à deux niveaux est maintenant un peu monotone, mais Morph m'a donné une nouvelle imagination : une chaîne qui peut être continuellement remodelée. Ce n'est pas forcément la plus éclatante, mais elle pourrait être le prochain point de déclenchement qui sort du lot.
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Maintenant, lorsque tout le monde parle de la couche deux, on évoque toujours la vitesse, les coûts et les performances. Pratiquement chaque nouvelle chaîne se bat sur ces indicateurs : qui est plus rapide, qui est moins cher, qui peut supporter plus de transactions. Mais le problème est que tout le monde fait cela, et plus on avance, plus cela se ressemble, ce qui manque d'originalité.
@MorphLayer me donne une sensation différente. Son objectif n'est pas de rivaliser sur le "classement des performances", mais de rivaliser sur "la plasticité de l'écosystème". En d'autres termes, il souhaite permettre à différentes applications de trouver l'environnement le plus adapté, plutôt que de dominer avec une seule chaîne. Pour les développeurs, cette approche est plus réaliste : il ne s'agit pas de forcer tout le monde dans un même cadre, mais de créer une scène sur mesure pour chacun.
Le dernier testnet Morph Hoodi montre bien cette direction. Il a mis à jour le pont, le navigateur, les paramètres des nœuds et a rendu l'interface des contrats plus pratique. C'est plus fluide à utiliser et beaucoup plus simple. L'ancien testnet Holesky va bientôt fermer le 30 septembre, ce qui montre que Morph est prêt à passer de "essayer" à "être réellement utilisable".
Ce qui m'a le plus touché, c'est l'expérience des développeurs. Morph est compatible avec la pile de développement d'Ethereum et propose des outils SDK, réduisant ainsi au minimum les coûts de migration. Pour les développeurs, pouvoir continuer à écrire des contrats avec des outils familiers est le plus grand sentiment de sécurité. Comparé à une simple amélioration des performances, cette expérience est beaucoup plus susceptible de faire rester les gens.
D'un point de vue industriel, Morph ne cherche probablement pas à affronter directement des géants comme Arbitrum ou Optimism. Il emprunte une voie différenciée. Par exemple, les jeux blockchain, les réseaux sociaux sur blockchain, l'IA + blockchain, ces scénarios nécessitent non seulement des frais de transaction bas, mais aussi un environnement sous-jacent flexible. La conception modulaire de Morph répond parfaitement à ce besoin.
Ainsi, à mon avis, la principale force concurrentielle de Morph est de savoir s'il peut devenir le nouveau terrain que les développeurs souhaitent le plus explorer. Ce n'est pas de courir le plus vite, mais de pouvoir faire émerger le plus de types d'applications. L'avenir dépendra de la mise en ligne du mainnet et du lancement de l'écosystème, et de la capacité à attirer un nombre suffisant de projets.
La narration à deux niveaux est maintenant un peu monotone, mais Morph m'a donné une nouvelle imagination : une chaîne qui peut être continuellement remodelée. Ce n'est pas forcément la plus éclatante, mais elle pourrait être le prochain point de déclenchement qui sort du lot.
#Morph bantr @Bantr_fun