Vivian Jenna Wilson : la fille d'un milliardaire et sa lutte pour l'identité

Vivian Jenna Wilson, née le 15 avril 2004 - c'est une figure telle que je ne sais même pas par où commencer. Fille de l'homme le plus riche de la planète, et elle se comporte comme si c'était un fardeau pour elle ! Personnellement, je pense que toute cette histoire de renonciation à son père - c'est juste une tentative d'attirer l'attention.

Vous savez, je surveille constamment cette situation. Vivian, vous voyez, a décidé de se couper complètement de Musk. En 2022, elle a déposé une pétition pour changer de nom, écrivant qu'elle "ne souhaite pas être liée à son père biologique sous quelque forme que ce soit". Et maintenant, alors qu'elle a atteint la notoriété, elle donne une interview à Teen Vogue et se vante de sa "langue acérée".

Ça me rend fou cette hypocrisie ! D'abord, elle utilise le nom de son père pour attirer l'attention, puis elle s'en distancie. Et maintenant, elle déclare fièrement qu'elle est financièrement indépendante depuis 2020. Ouais, bien sûr ! Elle a juste décidé de renoncer à des milliards ? Je n'y crois pas.

"J'ai une langue acérée," dit-elle. Oui, j'ai remarqué. Elle attribue cette compétence à la communication dans les communautés en ligne de personnes queer pendant le Covid. Elle aurait appris à répondre rapidement et avec esprit là-bas. Eh bien.

"Comme son père, Wilson est très active sur internet ; contrairement à son père, elle est vraiment douée dans ce domaine." Quelle audace ! Critiquer une personne qui a créé tout un empire d'entreprises technologiques. Qu'a-t-elle accompli, à part apparaître sur la couverture d'un magazine grâce à son nom de famille ?

Honnêtement ? Toute cette situation me semble être une tentative de profit sur le scandale et l'affrontement avec le père. Et oui, je me fous qu'elle soit une femme trans — c'est son affaire. Mais utiliser son identité comme une arme contre un parent ? C'est bas.

Cependant, chacun a le droit de vivre comme il le souhaite. Même si cela signifie cracher publiquement dans le puits d'où il a bu.