Les bonnes nouvelles sur l'emploi non agricole, mais big dump ? 5 raisons simples.
Les données non agricoles sont "positives", mais le marché subit plutôt un "big dump". L'essentiel est que l'évolution du marché est déterminée par de multiples facteurs et non par une seule donnée.
1. D'autres données économiques traînent.
Les données non agricoles sont importantes, mais ne sont pas les seules. Si d'autres données clés (comme l'indice ISM des services) sont publiées en même temps que les non agricoles et sont mauvaises, suggérant un ralentissement de l'économie, cela annulera les bénéfices des non agricoles, entraînant un retrait de fonds et une chute des prix.
2. Les nouvelles positives ont déjà été "anticipées".
Si le marché a déjà anticipé une bonne nouvelle avant la publication des données et a acheté à l'avance pour faire monter les prix, lorsque les données sont réellement publiées, la "bonne nouvelle" est réalisée. À ce moment-là, les personnes qui avaient déjà gagné de l'argent vont rapidement vendre, provoquant un big dump.
3. Le sentiment du marché domine la tendance
Même si les données sont positives, si le marché est globalement en proie à la panique et à la prudence, les investisseurs ignoreront les bonnes nouvelles et se concentreront uniquement sur les risques potentiels. Par exemple, si tout le monde s'inquiète de l'instabilité économique, ils vendront d'abord des actifs pour se protéger, peu importe la bonne performance des non-agricoles.
4. Les attentes de politique monétaire "impact inverse"
Les non-agricoles sont trop bons, ce qui pourrait inquiéter le marché sur un resserrement des politiques monétaires par la banque centrale. Par exemple, la Réserve fédérale pourrait, en raison de bonnes données économiques, retarder une baisse des taux d'intérêt, voire augmenter les taux, ce qui pourrait nuire aux prix des actifs et entraîner un big dump, alors que les non-agricoles sont clairement favorables.
5. Les données elles-mêmes sont douteuses ou ont des interférences
Les données non agricoles pourraient être révisées par la suite, ou le marché pourrait estimer que les données sont influencées par des facteurs politiques et ne sont pas réelles. Une fois que la crédibilité des données est mise en doute, l'évolution du marché se décale naturellement des signaux "positifs" des données.
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Les bonnes nouvelles sur l'emploi non agricole, mais big dump ? 5 raisons simples.
Les données non agricoles sont "positives", mais le marché subit plutôt un "big dump". L'essentiel est que l'évolution du marché est déterminée par de multiples facteurs et non par une seule donnée.
1. D'autres données économiques traînent.
Les données non agricoles sont importantes, mais ne sont pas les seules. Si d'autres données clés (comme l'indice ISM des services) sont publiées en même temps que les non agricoles et sont mauvaises, suggérant un ralentissement de l'économie, cela annulera les bénéfices des non agricoles, entraînant un retrait de fonds et une chute des prix.
2. Les nouvelles positives ont déjà été "anticipées".
Si le marché a déjà anticipé une bonne nouvelle avant la publication des données et a acheté à l'avance pour faire monter les prix, lorsque les données sont réellement publiées, la "bonne nouvelle" est réalisée. À ce moment-là, les personnes qui avaient déjà gagné de l'argent vont rapidement vendre, provoquant un big dump.
3. Le sentiment du marché domine la tendance
Même si les données sont positives, si le marché est globalement en proie à la panique et à la prudence, les investisseurs ignoreront les bonnes nouvelles et se concentreront uniquement sur les risques potentiels. Par exemple, si tout le monde s'inquiète de l'instabilité économique, ils vendront d'abord des actifs pour se protéger, peu importe la bonne performance des non-agricoles.
4. Les attentes de politique monétaire "impact inverse"
Les non-agricoles sont trop bons, ce qui pourrait inquiéter le marché sur un resserrement des politiques monétaires par la banque centrale. Par exemple, la Réserve fédérale pourrait, en raison de bonnes données économiques, retarder une baisse des taux d'intérêt, voire augmenter les taux, ce qui pourrait nuire aux prix des actifs et entraîner un big dump, alors que les non-agricoles sont clairement favorables.
5. Les données elles-mêmes sont douteuses ou ont des interférences
Les données non agricoles pourraient être révisées par la suite, ou le marché pourrait estimer que les données sont influencées par des facteurs politiques et ne sont pas réelles. Une fois que la crédibilité des données est mise en doute, l'évolution du marché se décale naturellement des signaux "positifs" des données.