Le 27, Zhao Changpeng a prononcé un discours à l'Université de Hong Kong, partageant ses idées uniques sur le développement de Web3 à Hong Kong. Les points clés sont les suivants :
1. Stablecoins : un canal potentiel pour l'internationalisation du renminbi Les stablecoins en dollars américains (comme USDT, USDC) sont essentiellement des outils de globalisation du dollar. Dans un marché de plus de mille milliards de dollars de capitalisation, 90 % des utilisateurs se trouvent en dehors des États-Unis, et les fonds sont principalement investis dans des obligations d'État américaines, ce qui aide le dollar à pénétrer les régions non couvertes par la finance traditionnelle. Cela inspire Hong Kong à promouvoir des stablecoins en renminbi offshore ou en dollar de Hong Kong, qui pourraient devenir un canal externe pour l'internationalisation du renminbi. Cependant, le défi réside dans le conflit entre la libre circulation des stablecoins et le contrôle des changes. Hong Kong doit concevoir des mécanismes flexibles dans un cadre réglementaire, par exemple en permettant une circulation ciblée dans des scénarios spécifiques, plutôt que de simplement reproduire le modèle américain. 2. RWA mise en œuvre : les actifs financiers sont la porte d'entrée Bien que le concept de tokenisation des biens soit en vogue, les RWA non financiers (comme l'immobilier à Hong Kong) souffrent d'une faible volatilité des prix et d'une demande de transaction faible, ce qui peut entraîner un cercle vicieux de faible liquidité et de moins en moins de transactions après la tokenisation. En revanche, des actifs financiers tels que les actions et les obligations, ayant un degré de numérisation élevé et une fréquence de transactions élevée, sont plus adaptés à la blockchain. Zhao Changpeng a averti que si la Bourse de Hong Kong ne pousse pas à la tokenisation des actifs, Hong Kong pourrait être passive, tout comme le marché chinois du commerce électronique a été monopolisé par Amazon. La clé pour briser cette impasse est d'accélérer la clarification de la réglementation, de distinguer les attributs des produits de titres et de saisir l'opportunité de mettre les actifs mondiaux sur la blockchain. 3. Concurrence des échanges : la liquidité détermine le succès ou l'échec Hong Kong souhaite développer une bourse de classe mondiale, mais il existe deux grandes erreurs. La première est de construire un système de localisation séparé, ce qui est coûteux (nécessitant un investissement d'un milliard de dollars), et avec une population limitée à Hong Kong, il est difficile de former un livre d'ordres profond ; la deuxième est de ne servir que les utilisateurs locaux, ce qui entraînera un nombre réduit d'utilisateurs.
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Le 27, Zhao Changpeng a prononcé un discours à l'Université de Hong Kong, partageant ses idées uniques sur le développement de Web3 à Hong Kong. Les points clés sont les suivants :
1. Stablecoins : un canal potentiel pour l'internationalisation du renminbi
Les stablecoins en dollars américains (comme USDT, USDC) sont essentiellement des outils de globalisation du dollar. Dans un marché de plus de mille milliards de dollars de capitalisation, 90 % des utilisateurs se trouvent en dehors des États-Unis, et les fonds sont principalement investis dans des obligations d'État américaines, ce qui aide le dollar à pénétrer les régions non couvertes par la finance traditionnelle. Cela inspire Hong Kong à promouvoir des stablecoins en renminbi offshore ou en dollar de Hong Kong, qui pourraient devenir un canal externe pour l'internationalisation du renminbi. Cependant, le défi réside dans le conflit entre la libre circulation des stablecoins et le contrôle des changes. Hong Kong doit concevoir des mécanismes flexibles dans un cadre réglementaire, par exemple en permettant une circulation ciblée dans des scénarios spécifiques, plutôt que de simplement reproduire le modèle américain.
2. RWA mise en œuvre : les actifs financiers sont la porte d'entrée
Bien que le concept de tokenisation des biens soit en vogue, les RWA non financiers (comme l'immobilier à Hong Kong) souffrent d'une faible volatilité des prix et d'une demande de transaction faible, ce qui peut entraîner un cercle vicieux de faible liquidité et de moins en moins de transactions après la tokenisation. En revanche, des actifs financiers tels que les actions et les obligations, ayant un degré de numérisation élevé et une fréquence de transactions élevée, sont plus adaptés à la blockchain. Zhao Changpeng a averti que si la Bourse de Hong Kong ne pousse pas à la tokenisation des actifs, Hong Kong pourrait être passive, tout comme le marché chinois du commerce électronique a été monopolisé par Amazon. La clé pour briser cette impasse est d'accélérer la clarification de la réglementation, de distinguer les attributs des produits de titres et de saisir l'opportunité de mettre les actifs mondiaux sur la blockchain.
3. Concurrence des échanges : la liquidité détermine le succès ou l'échec
Hong Kong souhaite développer une bourse de classe mondiale, mais il existe deux grandes erreurs. La première est de construire un système de localisation séparé, ce qui est coûteux (nécessitant un investissement d'un milliard de dollars), et avec une population limitée à Hong Kong, il est difficile de former un livre d'ordres profond ; la deuxième est de ne servir que les utilisateurs locaux, ce qui entraînera un nombre réduit d'utilisateurs.