Aujourd'hui, Gate a discrètement lancé son site américain. Pas de champagne, pas de célébrités, juste une phrase sur la page d'accueil : 23 licences américaines sont prêtes.
Les personnes qui ont traîné dans le monde des cryptomonnaies savent à quel point il est difficile d'obtenir une licence américaine : un État vous coûte une peau, 23 États c'est 23 peaux. Honoraires d'avocat, frais d'audit, vérification des antécédents, cela coûte cher et prend du temps, et il faut également modifier le système jusqu'à ce qu'il satisfasse les régulateurs.
Les États-Unis ne sont que le "dernier niveau" de Gate. Au cours des dernières années, ils ont accumulé patiemment des licences de Lituanie, du Japon, de Dubaï et de Hong Kong, comme un collectionneur de timbres. Les autres sortent à l'international avec des PPT, Gate sort à l'international avec des sceaux.
En résumé : autrefois, acheter des cryptomonnaies aux États-Unis était souvent bloqué par les banques, maintenant on peut directement utiliser sa carte bancaire locale ; avant, lorsqu'on investissait dans de nouveaux projets, on craignait que les échanges disparaissent, maintenant chaque transaction se fait sous l'œil des régulateurs. Site :
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Aujourd'hui, Gate a discrètement lancé son site américain. Pas de champagne, pas de célébrités, juste une phrase sur la page d'accueil : 23 licences américaines sont prêtes.
Les personnes qui ont traîné dans le monde des cryptomonnaies savent à quel point il est difficile d'obtenir une licence américaine : un État vous coûte une peau, 23 États c'est 23 peaux. Honoraires d'avocat, frais d'audit, vérification des antécédents, cela coûte cher et prend du temps, et il faut également modifier le système jusqu'à ce qu'il satisfasse les régulateurs.
Les États-Unis ne sont que le "dernier niveau" de Gate. Au cours des dernières années, ils ont accumulé patiemment des licences de Lituanie, du Japon, de Dubaï et de Hong Kong, comme un collectionneur de timbres. Les autres sortent à l'international avec des PPT, Gate sort à l'international avec des sceaux.
En résumé : autrefois, acheter des cryptomonnaies aux États-Unis était souvent bloqué par les banques, maintenant on peut directement utiliser sa carte bancaire locale ; avant, lorsqu'on investissait dans de nouveaux projets, on craignait que les échanges disparaissent, maintenant chaque transaction se fait sous l'œil des régulateurs.
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